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 [Fantasy] L'esclave du Phénix.

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Hermine.des.neiges

Hermine.des.neiges


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MessageSujet: [Fantasy] L'esclave du Phénix.   [Fantasy] L'esclave du Phénix. EmptyLun 9 Sep - 9:42

Je n'écris que pour le plaisir et pour améliorer mon orthographe. Il me faudrait grandement améliorer mon style et je ne crois pas apporter beaucoup d'idées originales, mais je vous présente tout de même ce texte et attends vos avis, critiques et commentaires.

Ce texte est de type fantasy. Je ne vous précise pas le sous-type de ce récit puisque celui-ci n'est pas encore tout à fait déterminé...

Je vous présente pour le moment le Prologue en premier jet (Première écriture avec une correction rapide, mais sans réécriture) et j'espère que vous passerez quand même un bon moment à me lire.

L'esclave du Phénix.

Prologue.

Avancement : 1119 mots (environs 5 pages) Première correction. 24/SEPT/2013

« Dans un pays fort lointain, il existe un délicieux repas qui finira un jour dans ma marmite. Elle serait délicieuse coupée en dés, à moins de la hacher ?
Je rongerai sa chair, dégusterai son cœur et donnerai ses os à mes sujets pour qu'ils les grugent jusqu'à la dernière miette.
Malheureusement pour le moment, je dois la laisser à son destin... Mais le temps avance rapidement et la distance qui la sépare de mon estomac se rétrécit à vue d’œil...
- Tic tac, tic tac, tic tac... Le temps avanccccccce.
- Silence ! Je suis celle qui parle ! Je suis celle qui annonce le temps !
- Maîtresse est fâchée... Maîtresse va punir...
- Maîtresse punir...
- Le prochain qui parle servira d'assaisonnement à mon prochain repas ! Qu'étais-je en train de dire avant que vous m’interrompiez, sales petites vermines ? Ah oui! Nera, profite bien du temps qu'il te reste parce que, moi, déesse de la mort, surveille ton histoire de près...

*******
Il y avait deux hommes sur ma droite, le premier surveillait le bas de l’escalier qu’il me fallait emprunter alors que le second regardait dans le couloir où je me trouvais. De petites tailles pour des hommes ont pouvait, à premièrement vue, penser qu’ils n’étaient pas un problème particulièrement difficile à surmonter. Cependant, les deux gardes étaient armés, lourdement armés. Le plus près de moi portait deux lames longues et sûrement parfaitement affilées dans son dos. Ses mains empoignaient la base d’une troisième lame, beaucoup plus lourde cette fois-ci. De plus, il affichait sans problème une collection d’armes à sa ceinture. Je devinais trois couteaux de lancés ainsi que deux poignards sans ornement. Pas de simple décoration, de vraie arme de combat et je mettrais ma main à couper que leur propriétaire savait parfaitement les manier. Un rapide coup d’œil à don voisin me confirma qu’il était armé de même.
Mon objectif se trouvait en haut de l’escalier et c’était le seul moyen d’y accéder. Sans bruits, je me glissai sur le sol tout en restant dans l’ombre pour ne pas être repérée. Je fixais le bout des bottes du premier garde, seul indice sur leur position qu’il m’était possible de voir d’où je me trouvais. Puis, d’un rapide mouvement du poignet, je lançai ma fléchette empoisonnée à l’endroit où j’avais précédemment vu le second garde et me jeta dans un corps à corps avec le premier. Ma première cible glissa lentement contre le mur avant d’atteindre le sol, les yeux rivés sur moi et un sourire aux lèvres. Il semblait content de ma prestation. Je me concentrai sur l’homme encore debout en évitant de justesse un coup de lame qui m’aurait atteint à la hanche si je n’avais pas bougé assez vite. Mon adversaire laissa tomber sa lourde épée et se saisit d’un de ses poignards, beaucoup plus facile à magner dans un corps à corps.
Sa maîtrise des armes à courte portée était excellente. Pour ma part, je magnais mon poignard comme je le pouvais, c’est-à-dire mieux que la moyenne de la population, mais moins bien qu’un corps d’élite. J’avais beau exceller en discrétion, je manquais encore d’entraînement pour les combats armés. Par chance, je n’avais pas raté le second garde, car dans le cas contraire, je serais déjà morte et enterrée. Je tentai de le déstabiliser en changeant mon style de combat pour quelque chose de plus rapide, mais il était mieux entraîné que moi. D’un coup de pied, il fit voler mon arme dans les airs. Je la regardai décrire un arc de cercle avant d’atteindre le mur de la tour et de tomber au sol. Pendant ce temps de distraction mon ennemi m’avait plaqué au sol et il appuyait sa lame contre mon cou.
— C’était pas mal, mais maintenant je te tranche la gorge et te laisse te vider de ton sang jusqu’à ce qu’un joli tapis bien rouge recouvre le plancher.
Tout en m’envoyant cette vérité au visage il relâcha son arme et je glissai lentement jusqu’au sol jusqu'à me retrouver au même niveau que le premier garde que j’avais réussi à mettre hors jeu. Celui-ci me fixait toujours de ses yeux moqueurs.
J’étais morte, j’avais échoué ma mission et perdu mon objectif. Ma première cible se releva et rejoignit son compagnon. Il lui tapota amicalement l’épaule et se tourna vers moi.
— Désolé Nera, tu as encore échouée. C’est la troisième fois, tu as écoulé toutes tes chances, tu ne pourras pas rejoindre les Renards du désert.
Sans rien ajouter de plus, ils sortirent de la tour. Ils devaient sûrement aller rejoindre les maîtres pour leur annoncer mon échec.
L’épreuve de la tour était la 7e et dernière épreuve pour intégrer l’équipe d’élite de l’armée du Phénix. Elle consistait à monter jusqu’au sommet d’une tour pour atteindre une clé. Un total de 7 étages correspondant à 7 étapes de l’épreuve devaient être gravis pour atteindre l’objectif. Plus on monte dans la tour, plus les gardes sont de hauts niveaux.
Je venais d’échouer au 4ême palier, soit un étage plus haut que lors de mes deux premières tentatives. Ce n’était pas assez. J’avais utilisé les 3 chances disponibles et allait atteindre l’âge limite pour entrer dans la formation demain matin.  
Rejoindre les Renards du désert ce n’était pas seulement mon rêve, c’était surtout le moyen le plus sûr pour atteindre mon objectif. Il y avait bien quelques manières alternatives pour y arriver, mais ça allait être compliqué. Je venais de laisser passer ma meilleure chance.
Serrant les poings assez fort pour inscrire la forme du manche de mon poignard dans ma paume, je me relevai et entreprit de descendre de la tour. À chaque palier, je croisais des membres de l’académie de formation générale de l’armée. J’en connaissais certains pour m’être entraînée avec eux. Quelque visages qui me rappelait vaguement quelque chose, mais personne qui m’était proche. Après tout, je n’avais jamais fait l’effort de me rapprocher des gens depuis mes 7 ans.
Arrivé tout en bas de l’édifice, je remarquai alors le seul visage de l’académie que je connaissais vraiment. Celui-ci ne prit pas la peine de venir me parler, il me fixa quelques secondes et sorties sans se retourner. Je m’arrêtai quelques instants devant la porte. Une fois que j’aurais passé celle-ci, les maîtres me donneront leur verdict et me diront dans quelle unité ils ont décidé de m’envoyer pour continuer ma formation. J’avais laissé passée ma meilleure chance, mais je pouvais toujours y arriver. Je ne devais pas baisser les bras, je devais m’entraîner autant que possible, peu importe ce qu’il m’en coûterait, mais surtout, cette fois-ci, je ne devais m’accorder aucune distraction.

Chapitre 1.
Avancement : 4093 mots (environs 16 pages)1/2 de corrigé. 31/Oct./2013
Mon sac ne contenait pas grand-chose, deux tenues de rechange, des provisions de secours, au cas où la chasse serait difficile, une couverture, un poignard supplémentaire et un récipient pour toujours avoir de l’eau sur moi. En plus de ces articles, j’apportais une bourse contenant un montant d’argent confortable pour la réussite de ma mission, mes vêtements de protection et mon poignard, cadeau de mon grand-père qui en avait fait fabriqué deux, identiques, pour moi et mon frère.
Ma jument piaffait d’impatience. Il est vrai que cela faisait un moment que je ne l’avais pas personnellement sortie.
Sa crinière noire se fondait en douces cascades sur sa robe de même couleur. C’était une belle bête, puissante, noble et docile.
Je lui caressais la tête au niveau des oreilles lors qu’enfin, mon maître arriva. Il était grand, un des plus grands que je connaisse, et ses cheveux commençait à devenir gris à la racine, mais ses yeux pétillaient de vigueur et il semblait être aussi en forme qu’un jeune homme dans le cœur de l’âge. Oleben n’était pas bavard, c’était un guerrier et surtout, mon maître d’armes.
Grâce à lui, j’ai pu améliorer mes techniques de combats, qui étaient auparavant plutôt basiques, pour devenir une des meilleures étudiantes de la formation. Bien entendue, ce n’était pas le corps d’élite puisque je n’avais pas réussi l’examen permettant d’y entrer, mais la formation que je venais de finir me permettra, si je réussis ma première mission, de rejoindre les renardeaux, troupe directement liée aux renards du désert.
D’un geste sûr et souple, mon maître monta sur sa monture, un cheval des plus banal en apparence, mais qui possédait une très bonne endurance.
Puis, sans un mot, il partit au trot. Je sortis donc rapidement de ma rêverie pour monter à mon tour sur ma jument et le rattraper.
C’était une très belle journée pour commencer notre périple. Le voyage devait prendre une semaine et le magicien du fort avait prédit que c’était le moment idéal pour partir et ne pas rester bloqué lors de la traversée du fleuve qui devenait parfois impraticable quand le niveau d’eau était trop élevé en raison des fortes pluies qu’il y avait parfois dans la région.
Il nous avait bien prévenus toutefois qu’il ne fallait pas traîner, car la saison des pluies approchait plus rapidement que d’habitude, signe qui confirmait l’état de tension dans lequel se trouvaient les royaumes.
Arrivant au même niveau que mon maître je ralentis le rythme de ma monture pour ne pas l’épuiser au tout début du voyage. Il en avait fait de même, décidant de commencer le trajet par une ballade tranquille.
Nous avions quitté l’enseigne du camp de formation quelque instant plus tôt et la végétation commençait à devenir de plus en plus dense dans cette zone peu fréquentée. En effet, le fort se trouvait dans une région non habitée, entouré de forêt et de falaise, un lieu idéal pour se préparer à survivre seul et à se défendre contre les forces de la nature. C’était pour cette raison que le Phénix avait demandé au roi d’y installer son deuxième meilleur camp de formation. Sa localisation n’était pas un secret, contrairement à celui des renards du désert, mais son chemin peu praticable en faisait tout de même un endroit assez discret.
Nous continuâmes sur ce sentier peu fréquenté dans un rythme lent, mais sûr, puisque nos montures connaissaient parfaitement la route.
Le bruit des sabots sur la terre molle était accompagné par celui des  Zhuots, des oiseaux d’un turquoise doux à petites taches violettes et à la poitrine et aux flancs orangés, qui chantaient leur chanson d’espérance quant à un avenir plus paisible.
Ni moi ni mon maître ne prononçâmes un mot pendant le trajet qui nous mena à notre premier lieu de repos, un étang où nous pouvions abreuver nos chevaux et prendre le temps de manger quelques provisions pour tenir jusqu’au soir.
De là où nous nous trouvions, nous avions une magnifique vue sur la chaîne de montagnes qu’il nous fallait contourner. Leurs sommets étaient tellement hauts que la neige les recouvrait à l’année longue. À ma connaissance, personne du peuple du Phénix ne s’y aventurait. Seuls ceux originaires du royaume du Pégase ne pouvaient survivre dans les conditions auxquelles nous soumettait la nature à cet endroit.
Mon maître descendit de cheval et me tendit un bout de bois qui se trouvait sur le bord de l’eau.
— Si tu veux manger, me lança-t-il, tu dois me faire lâcher mon arme en ne te servant que de ce bâton.
Attrapant mon arme de fortune, je descendis et me mis en position de défense. J’observais mon adversaire, guettant le moindre indice sur son premier mouvement. Celui-ci était aussi calme que l’eau de l’étang. Un oiseau nous observait du haut d’un conifère à la cime plus haute que les tours de la forteresse où j’avais travaillé pendant 4 ans à terminer ma formation.
Le seul mouvement que je percevais de mon adversaire était celui de sa poitrine se soulevant au rythme lent et régulier de sa respiration.
Je tentai donc une approche de base pour l’obliger à faire un mouvement et à commencer le combat. Tenant mon bâton de la main droite je lui fis décrire un cercle complet avant de positionner ma main gauche pour porter un coup rapide au niveau des épaules de mon maître.
Sa parade ne me surprit pas. Un combattant aussi expérimenté que lui ne pouvait se laisser désarçonner par une technique de débutant. Répondant à mon attaque il déplaça rapidement son arme qui vint rencontrer la mienne juste au niveau de son épaule. Rapidement il enchaîna sur des attaques simples, mais qui m’obligeaient à dépenser toute mon énergie à éviter la terrible vitesse d’un maître d’armes de dernier niveau.
Celui-ci me répétait toujours que les techniques les plus simples pouvaient nous permettre d’épuiser un adversaire si nous étions plus endurants que celui-ci. Or, celui-ci ne pouvait se permettre d’utiliser cette technique pour me vaincre puisque mon jeune âge me permettrait de remporter l’épreuve de patience sans trop de difficulté.
En observant attentivement les mouvements de son bâton, je pouvais déjà remarquer le ralentissement de plus en plus prononcé de ses attaques.
Je compris presque trop tard ce que mon maître tentait de faire, mais parvint à éviter de justesse un coup porté à mes mollets.
Cherchant à comprendre pourquoi mon maître utilisait une technique qui n’avait aucune chance de marcher contre moi, j’étais passée à un cheveu de me laisser distraire assez longtemps pour ne pas voir venir son attaque. Les distractions étaient les pires ennemis des combattants.
Cette parade me permit de reprendre confiance en moi et mes mouvements devinrent plus fluides. Dépensant moins d’énergie pour me défendre, je pus commencer à réfléchir à un moyen de vaincre mon maître.
Reculant de quelques pas assez rapidement pour me mettre quelque seconde à l’abri, je fis tournoyer mon bâton au-dessus de ma tête.
C’est le moment que choisissent cinq cavaliers pour envahir le petit espace où nous nous trouvions.
D’un même mouvement moi et mon maître nous retournâmes pour nous défendre contre d’éventuels ennemis communs.
Les cinq hommes montaient de magnifiques chevaux. Les trois du centre possédaient des montures d’un brun presque noir alors que les deux autres étaient perchés sur des bêtes à la robe plus claires et à la crinière noire.
Puissants, les chevaux ne semblaient pas fatigués de leur course alors que leurs cavaliers eux, semblaient sur le point de s’écrouler.
Mon maître leva son bâton dans les airs en signe de paix alors que les intrus ralentissaient leurs allures, venant tout juste de nous remarquer.
L’homme du devant parcourut des yeux la zone découverte autour de nous, sûrement pour évaluer le nombre de personnes présentes avec nous.
Les cinq montures ralentirent et s’arrêtèrent à quelques mètres de nous.
— Vous semblez avoir fait un long voyage, commença mon maître. Pouvons-nous vous offrir quelque chose pour vous permettre de récupérer un peu de celui-ci avant de reprendre votre route ?
Un des trois jeunes hommes au cheval brun foncé avança sa monture de quelques pas avant de prendre la parole d'un air suspicieux.
— Qu’est-ce qu’un groupe de deux voyageurs pourraient bien offrir à cinq hommes affamés ? Parcourez-vous la forêt avec de quoi nourrir tout un bataillon ?
Il est vrai que la proposition de mon maître était surprenante. Pourquoi invitait-il des inconnus à partager nos provisions alors que la route qui nous attendait était encore si longue ?
D’un geste lent, pour ne pas brusquer les étrangers, il prit son sac et en découvrit le contenu.
Quelques lamelles de viandes sécher ainsi qu’un bouquet de feuilles vertes étaient la seule nourriture que nous avions prise avec nous pour ne pas nous alourdir et ainsi nous ralentir. Nous espérions que nos connaissances de la chasse nous permettraient de manger à notre faim pour le reste du voyage.
— Je vois que vous vous dirigé vers le royaume du Pégase, dit-il, la jeune fille que vous voyez à côté de moi est la fille d’un espion de la reine Agritielle, elle possède des informations à remettre à celle-ci, ou à défaut, à son frère, de toute urgence. Je reconnaît à votre façon de tenir vos armes que vous avez été formé par l’armée du Pégase et je pense que cinq jeunes hommes, même épuisés, seront plus à même d’amener à bon port ma protéger que moi seul. Si vous acceptez de la prendre avec vous et de vous rendre le plus rapidement possible là bas, je vous donne la totalité de mes provisions. Elles devraient vous remettre sur pied assez longtemps pour vous permettre de chasser en cours de route.
La proposition de mon maître me prit pas surprise, mais elle sembla avoir un effet encore plus important sur nos interlocuteurs.
Le plus petit du groupe avança à son tour et m’examina.
— Êtes-vous sûr qu’elle peut endurer un tel voyage à un tel rythme ? Elle me semble plutôt menue vue d’ici.
Mes joues devenant rouge je me préparai à répliquer à ce petit plaisantin que je pouvais très bien me rendre à destination seule et les yeux fermés s’il le fallait, mais mon maître posa son bras sur mon épaule et répondit à ma place.
— Elle a été formée par son père qui a lui-même été formé au sein des vingt-cinq étoiles. Si vous le souhaitez, vous pouvez la défier à l’arme de votre choix ou encore essayer de battre sa monture à la course ou à l’endurance, mais je doute que vous ayez le temps pour une telle chose. Bulos sait très bien entraîner ses hommes et s’ils sont à votre recherche ils ne tarderont pas à vous trouver. Nera connaît cette partie de la forêt comme si elle en faisait elle même partie, elle pourra vous aider à vous enfuir.
Le premier homme à avoir pris la parole me regarda d’un air méprisant, il faut dire que sous ma tenue de voyage je ne ressemblais pas à grand-chose. Les degrés de rotation du soleil que nous avions passé à parcourir la forêt sous un soleil de plomb ainsi que notre petite période d’entraînement laissait transparaître une forte odeur de sueur qui devait déjà me donner une allure négligée. Mais il faut dire que les cinq hommes que j’avais devant moi étaient en bien pire état que le mien. Je relevai donc la tête et fixa mes yeux dans ceux de celui-ci.
— Foewin, si elle a des informations importantes à transmettre prenons-la avec nous, déclara un des individus qui était jusque là resté silencieux.
[Suite du chapitre en correction]

Chapitre 2.
Avancement : 2947 mots (environs 11 pages) Aucune correction. 4/Nov./2013


Dernière édition par Hermine.des.neiges le Lun 4 Nov - 15:03, édité 6 fois
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Wolfing

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MessageSujet: Re: [Fantasy] L'esclave du Phénix.   [Fantasy] L'esclave du Phénix. EmptyMer 18 Sep - 18:28

J'aime beaucoup !!! La suite !
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Hermine.des.neiges

Hermine.des.neiges


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MessageSujet: Re: [Fantasy] L'esclave du Phénix.   [Fantasy] L'esclave du Phénix. EmptyDim 22 Sep - 8:46

Merci de ton commentaire, par contre, je n'ai pas encore écrit la suite et je suis un peu débordée donc ça prendra un peu de temps avant d'avoir le chapitre 1 ^^ Mais ça viendra...

Ajout de mon avancement dans le premier post.
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Hermine.des.neiges

Hermine.des.neiges


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MessageSujet: Re: [Fantasy] L'esclave du Phénix.   [Fantasy] L'esclave du Phénix. EmptyJeu 31 Oct - 14:13

La suite est maintenant disponible Smile

Vous pouvez découvrir la première moitié de mon chapitre 1 ! J'ai presque fini de corrigé l'autre moitié mais je bloque sur une description de personnage !

J'attends vos commentaires !
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MessageSujet: Re: [Fantasy] L'esclave du Phénix.   [Fantasy] L'esclave du Phénix. Empty

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